Un cadavre portant l’insigne du FBI a été découvert dans le jardin de la maison-musée d’Ernest Hemingway. Sur une étagère, des traces du passage d’Ava Gardner, dans les mémoires une mitraillette Thompson…
Ce n’est pas facile d’enquêter sur un romancier de la taille de « Papa » quand on entretient avec son image et ses œuvres des rapports ambigus d’admiration-haine, mais Mario Conde, l’ancien flic, met à jour le souvenir de ce monstre sacré, généreux, odieux, inoubliable.

« Au fil des pages, on découvre un « monstre Ernesto » très inattendu. Ce Adios Hemingway est à saluer ! » - André Rollin – Le Canard enchaîné.

« On lira ce roman un peu hirsute, titubant comme sous l’usage immodéré du rhum-coco, avec une mélancolique complicité. » - Frédéric Vitoux – Le Nouvel Observateur.

« Derrière la légende Hemingway, ce sont ses livres, son art d’écrire en jouant du silence que Padura nous invite à (re)découvrir. Mieux qu’un hommage, un partage. » - Michèle Gazier – Télérama.

« Un des plus étranges et des plus attachants romans de Padura. » Gérard Meudal – Le Monde.

Léonardo Padura est né à La Havane en 1955. Auteur de nombreux romans, il a reçu les prix Hammett et Café Gijon.